Mes aventures sur « Paris - Dakar »
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
grossexe,
plage,
bain,
voyage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
roadmovie,
... nudité sous le tissu léger, mais elle ne s’en souciait pas. Cette attitude si peu conforme aux mœurs rigoureuses du pays m’étonnait. Je le fus plus encore quand elle entreprit de dénouer les liens de mon bikini. En dehors de nous deux, il n’y avait alentour que Séba et le chef, mais c’était assez pour attester la singulière liberté dont la jeune femme faisait preuve. Je plongeai et nageai ainsi dans mon habit originel moins pour me rincer que pour mieux goûter le plaisir de ma nudité. Ma compagne en fit autant avec une aisance qui me sidéra et me ravit tout à la fois. Il me plut que le chef reluque mon corps. Je sortis brandissant le téton, ondulant du bassin et balançant le popotin de cette façon que je voulais aguicheuse. Lui continua à me zieuter sans bouger, sans ciller. Sur ces entrefaites, une femme âgée arriva avec diverses affaires. Elle nous aida, Leïla et moi-même, à nous sécher puis pour nous vêtir d’une sorte de tunique écrue, taillée dans un tissu opaque et léger. La mienne était un peu plus courte, coupée juste au niveau des genoux tandis que celle de Leila couvrait les chevilles. Nonobstant la longueur, ces tenues étaient quasi identiques et sans doute pareillement confortables, mais pas vraiment sexy. Je m’abstins de tout commentaire, je ne voulais pas offenser et préférai étancher ma curiosité. — Tu habites avec ton père, m’enquis-je, pour engager la conversation, supputant mille a priori trompeurs. Les deux femmes partirent à rire. — Tayeb n’est pas mon ...
... père. Je suis une de ses femmes, la quatrième épouse, hoqueta Leïla en s’esclaffant toujours. Je tombai de haut. L’hypothèse ne m’avait pas même effleurée. Que Leïla soit mariée à Si Tayeb ? Diable. Quatrième épouse ? Diable, diable. — Je suis la première épouse. Mon nom est Aïcha, intervint la femme âgée. Aminata, la deuxième épouse, est installée à Casablanca et Mintou la troisième, à Nouadhibou. Tayeb a beaucoup, beaucoup de maisons. Il est très, très riche, poursuivit-elle en accentuant comiquement. Il a également des concubines un peu partout, à Dakhla, à Las Palmas aux îles Canaries et aussi en Mauritanie, à Nouakchott, Atar et Aïoun El Atrouss. En vérité, je ne suis plus très sure de ce que j’avance, car Tayeb n’en parle pas beaucoup, ajouta-t-elle dans la foulée, avec beaucoup d’aménité et s’exprimant dans un français plus châtié que le mien. Ben oui ! Tant qu’à faire. Je perdis le compte des concubines, mais compris que le Monsieur était un sacré chaud lapin. Mais avant tout, c’était la porte entrouverte sur ce monde polygame qui suscita le plus ma perplexité. Aïcha ne me laissa pas le loisir de l’interroger. Elle n’avait pas fini de parler qu’elle nous invita à la suivre, Séba et moi. Les couverts étaient dressés sur des nattes posées à même le sol d’un terre-plein sableux et plat, situé à l’abri sous un renfoncement creusé dans la falaise. Depuis les hauteurs suintait une humidité abondante qui ruisselait et gouttait à l’aplomb de la paroi verticale. Les filets d’eau ...